L’expérience
réalisée l’année suivante avec les
travailleurs yougoslaves (auxquels on avait greffé des
cellules de moelle osseuse allogénique*) suscita un intérêt
mondial. Le rapport de cette expérience avec le traitement
de la leucémie ne passa pas inaperçu.
Après avoir ouvert la voie, Georges Mathé
abandonna le domaine non sans avoir résumé cette
expérience dans un ouvrage écrit en collaboration
avec Jean-Louis Amiel et Léon Scharwzenberg.
Les thèmes
dominants des ses travaux concernent à la fois l’oncologie
et la transplantation dont l’importance a progressé
régulièrement au cours du dernier tiers du XXème
siècle.